Geekopolis 2013

La Forêt Magique a été présente à plusieurs éditions de Geekopolis, festival des cultures de l'imaginaire.

Les 25 et 26 mai 2013 se tenait la première convention Geekopolis dédiée aux cultures de l'imaginaire. La Forêt Magique y tenait un stand pour présenter nos différents créateurs soutenus.
Le bilan a été des plus positifs avec plus de 300 contacts directs sur le stand avec remise de documentation de la main à la main après conversation. Les trois auteurs ont pu vendre de nombreux ouvrages.
Enfin, le film Exomnesie a fait l'ouverture de la convention, dans l'espace de projection dédié aux films et webséries, au centre du salon. Sa bande annonce tournait en boucle sur le stand et a joué le rôle attendu : attirer les visiteurs comme autant de mouches dans une toile de tarentule.
Notre stand était dans l'espace Metropolis dédié à la science-fiction. Il était bien entouré (cliquer pour agrandir les images).


Entre les deux jours, la salle de spectacle a été occupée par la Nuit du Geek. Si le spectacle était inégal, le point d'orgue a été bien sûr le très attendu concert de la Naheulband.

Pour les amnésiques, rappelons que le Donjon de Naheulbeuk est, à la culture Geek francophone, ce que la Recherche du Temps Perdu est aux fans de Marcels. La Naheulband évolue dans le domaine musical autour du très puissant leader charismatique qui créa le Donjon et que nous avions interviewé il y a quelques années.
Enfin, nous avons organisé un concours sur le stand. Il suffisait aux candidats de répondre à un petit questionnaire (soit sérieusement soit par délire) sur les oeuvres présentées sur le stand en laissant au passage leurs adresses mails dont nous saurons faire mauvais usage.
Le dimanche à 17 heures, nous avons capturé une main innocente qui passait devant le stand et nous lui avons demandé de procéder au tirage au sort.

Les gagnants sont donc :
- Gilles, de Sains en Ille-et-Vilaine, qui a gagné un exemplaire de Les dieux parmi nous de Pierre Béhel ;
- Rkrcmar qui a gagné un exemplaire de La Cote de Rodolphe Maix.